BEN HARPER & SUZANNE VEGA Á JAZZ IN MARCIAC

Á 21H00
SUZANNE VEGA

Depuis la sortie de son premier album éponyme acclamé par la critique en 1985, c'est une évidence qui ne s'estompe pas avec le temps : Suzanne Vega, conteuse d'histoires mélancoliques, brille toujours de mille feux. Sa sincérité habite ses compositions et ses textes donnent une place de choix à la vie citadine et aux gens ordinaires. Son travail est immédiatement reconnaissable, aussi distinct et réfléchi qu'il l'était lorsque sa voix a été entendue pour la première fois à la radio il y a plus de trente ans.
Suzanne Vega fait résonner avec simplicité les tubes élégants qui ont forgé sa réputation. A l'image de son single "Luka", qui aborde avec courage le thème de la maltraitance des enfants. Ce titre sera nommé trois fois aux Grammy Awards et remportera le MTV Music Award du meilleur clip féminin. Aujourd'hui, c'est donc une grande dame de la musique qui se présente à Marciac, sublimant avec exigence, simplicité et poésie, les histoires, parfois malheureuses, qui s'écrivent devant ses yeux.

Á 23H00
BEN HARPER & THE INNOCENT CRIMINALS

Il suffit parfois de peu de choses pour que l'émotion surgisse et emporte tout avec elle, faisant frissonner les âmes et vibrer les corps. Une guitare slide, la mythique Weissenborn, une voix sombre et troublante, immédiatement reconnaissable, des textes qui parlent de nous, d'amour et d'abandon, du temps qui passe en détruisant les corps et les coeurs, de cette société qui trop souvent ressemble à un panier de crabes...
Ben Harper n'a besoin de rien d'autre pour nous embarquer dans son sublime univers, monde créé à son image, simple, sobre mais d'une rare intensité. 
Depuis 1994 et ce premier album, "Welcome to the Cruel World", qui le propulsa sur le devant de notre scène par la grâce d'un seul titre, "Walk away", Ben Harper a su se tailler une place à part dans notre paysage musical, apprécié tout autant du grand public que des passionnés subjugués par sa maîtrise technique et sa capacité à mélanger les styles sans que cela ne paraisse artificiel.

Mostrar menos